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AVERTISSEMENT

Amis lecteurs
Je ne fais ce Blog que pour vous faire decouvrir les tresors du Judaisme
Aussi malgre le soin que j'apporte pour mettre le nom de l'auteur et la reference des illustrations sur tous ces textes , il se pourrait que ce soit insuffisant
Je prie donc les auteurs de me le faire savoir et le cas echeant j'enleverais immediatement tous leurs textes
Mon but etant de les faire connaitre uniquement pour la gloire de leurs Auteurs

Torah et handicap




                     Torah et handicap


                         naguilah



"N'insulte pas un sourd et ne place pas d'obstacles sur le chemin de l'aveugle" (Lévitique 19:14) nous ordonne la torah qui poursuit le verset en indiquant :
"Tu craindras ton dieu puis "tu aimeras ton prochain, comme toi-même" Le respect de l'autre celui qui est différent, semble donc une condition sine qua non a la crainte divine.
Pour quelle raison?
Pourquoi avoir choisi de lier les exigences de l'amour d'autrui et de crainte de dieu avec celle du respect de l'handicapé?
La réponse est simple selon Diana Ginz burg, de l'association Maagale Tsedek:
Une société ne saurait être considéré comme morale qu'à partir moment ou elle se comporte moralement envers ces handicapés.
Un pays régi par la torah est jugé non seulement en fonction de son respect du shabbat mais aussi en fonction de son rapport à l'étranger, l'orphelin, la veuve et aux personnes souffrant d'un handicap affirme t'elle.
Son organisation, créée il y a cinq ans se fonde sur deux principes clés:"Tout d'abord, notre association est là pour transmettre un message profondément juif.
C'est la voix de la torah qui nous guide et même si une partie de nos volontaires ne respectent pas toutes les mitsvot, ils sont particulièrement conscients de l'approche juive de Maagale Tsedek.
Le deuxième principe est que nous désirons faire de Tsedek, de la justice et non pas de la tsedaka.
"Imaginez un groupes d'amies qui désirent se rendre au restaurant et que l'une d'entre elles se déplace en fauteuil roulant. Elles arrivent devant la porte de l'établissement et là, elles se rendent compte que rien n'a été prévu pour que les handicapés y aient accès.
Deux possibilités s'offrent alors; aider une l'amie, la porter et la faire rentrer dans le restaurant. Il s'agira la d'un acte de tsedaka; mais également agir au sein de l'association qui militera pour l'accès de tout restaurant aux handicapés.
Il s'agit la de Tsedek, de justice à long terme."
C'est cette prise de conscience que maagle Tsedek attend du public et des autorités.
Le choul'Han Arouh nous enseigne, dans les lois relatives à la bénédiction des cohanim, que "celui qui à un défaut dans son visage ou ses mains…ne pourra bénir le peuple" Cette halacha semble à priori rejeter l'handicapé le railler. Comment l'expliquer?
Rabbi Yossef Caro poursuit et éclaircit cette règle: "Parce que le peuple le regarde".
La définition de "différent " est fonction de celui qui regarde, pas de la personne elle-même! Il ne convient pas que pendant la birkat cohanim, les fidèles se préoccupent de la situation physique de celui qui les bénit.
Le défaut n'est pas n'est pas chez l'handicapé, mais parmi le public qui au lieu de voir le Cohen en train de les bénir, voit en lui l'handicapé!
Ils se limitent à sa déficience physique et c'est la raison pour laquelle il ne convient pas qu'il les bénisse.
La guemara nous enseigne (meguila 24) que Rabbi Yossi rencontra un jour un aveugle qui tenait une torche dans ses mains.
"A quoi te sers cette torche ?
"Lui demanda alors rabbi Yossi. Et l'aveugle de répondre : Tant que je la tiens dans mes mains, les autres hommes me voient et me protégent."

Tiré du journal Hamodia






VOLONTÉ  ENDURANCE - SUCCÈS
Par Roland S. Süssmann
A lire sur  shalom-magazine

Le drapeau bleu et blanc frappé de l’étoile de David s’élève lentement,majestueusement vers un ciel radieux,surplombant légèrement ceux de deux autres pays. La Hatikvah, jouée par un  orchestre, est reprise en chœur par tous les supporters juifs et israéliens et la nageuse Keren Leibovitch brandit sa troisième médaille d’or les larmes aux yeux. Nous sommes à Sydney aux Jeux 

Olympiques pour Handicapés, les fameux «Paralympic Games 2000».






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